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  • Si vous n'avez pas tout compris du film...

    De nombreux thèmes sont abordés :
    - L'adolescence difficile : Donnie "se rebelle", se trouve différent des autres. Il n'a pas
    confiance en lui. Cela passe par des relations houleuses avec ses parents, ses soeurs puis à
    l'école avec ses professeurs. Il passe pour un élève peu discipliné et perturbé.
    - La schyzophrénie : Donnie a un ami imaginaire, que lui seul peut voir et entendre : Franck. On a l'impression que ce personnage bizarre résonne dans sa tête et lui commande certaines actions.
    Donnie n'est pas toujours maître de lui, il est comme dominé par ce double maléfique. D'ailleurs, il suit une psychotérapie qui doit l'aider à comprendre son état.
    - La destinée : La façon dont Donnie échappe a l'accident qui aurait dû lui être fatal est étrange. On a l'impression dès le début que cet évènement, puis tous ceux qui seront "provoqués" par le lapin par la suite conditionnent la vie de Donnie.
    - La fin du monde : Le compte à rebours est lancé à partir de l'accident. Donnie a 28 jours à
    vivre et de nombreuses tâches à accomplir, d'après le lapin. Mais dans pour quelles raisons ?
    - Le voyage dans le temps : Il existerait des failles dans le temps et des moyens de changer le passé... mais cela ne s'explique qu'en voyant le film.

    L'amour et la peur, deux extrêmes. Ces deux sentiments sont omniprésents dans
    le film à travers plusieurs personnages, notamment une enseignante et le personnage de Patrick
    Swayze. Ces deux sentiments sont la source des actions des êtres humains d'après eux, mais Donnie
    se dresse contre eux tout au long du film, en revendiquant la complexité des rapports humains.
    Doit-on y chercher une explication de l'histoire ?

    A la première vision, ce film peut paraître inexplicable, mais on peut en faire plein d'interprétations différentes. C'est d'ailleurs tout l'intérêt du film. C'est un mélange de style : fantastique, comédie-dramatique... voir même scientifique par moment !
    On trouve plein de détails amusant dans le film : une explication de la vie des schtroumpfs (d'où vient la schtroumpfette et avec qui couche-t-elle ?).
    Quand Donnie est au cinéma, pour voir Evil Dead, on aperçoit la vieille Doloréane du film... c'est la même voiture que l'on verra apparaître à la fin pour un certain évènement.
    Le lapin a vraiment un look mortel et une voix diabolique... Déroutant.

    un film intrigant,donnie darko fait beaucoup reflechir,un conseil ,regardez le,et vous comprendrez...


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  • Donald Darko, 16 ans, a tout pour être heureux : une famille, des amis... Mais il se trouve différent des autres, plus intelligent et doté d'une grande imagination. Il est intrigué par ses pensées déroutantes et surtout par Franck, l'ami surnaturel qui lui rend souvent visite.
    Donnie échappe miraculeusement à un accident : un réacteur d'avion tombé... Dans sa chambre.
    Franck confie la tâche à Donnie de suivre sa propre destinée... Il n'a que 28 jours avant la fin du monde.
    Que signifient tous ces étranges évènements qui perturbent la vie tranquille de la communauté ? Pourquoi Donnie est-il toujours hanté par son lourd passé ? Pourra-t-il éclaircir tous ces mystères avec l'aide de Franck ?

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  • Le premier amendement protège le droit de parodier les personnes en vue, même quand de telles parodies sont « outrageantes » et même si elles causent à la personne visée de graves souffrances morales. Dans l'affaire Hustler Magazine, Inc. contre Falwell, 485 U.S. 46 (1988), la Cour examina une accusation « d'infliction intentionnelle de souffrances morales » que portait Jerry Falwell, pasteur conservateur et commentateur politique bien connu, contre Larry Flynt, propriétaire de la revue érotique Hustler Magazine. (Cette affaire est largement traitée dans le film The People vs. Larry Flynt, qui est sorti aux États-Unis à la fin de l'année dernière et qui connaît un grand succès.)

    Ce procès découlait de la parodie d'une série d'annonces publicitaires dans lesquelles des gens connus évoquaient la « première expérience » qu'ils avaient faite d'une liqueur, le Campari. La parodie publiée dans Hustler et intitulée « Jerry Falwell parle de sa première expérience », contenait une prétendue interview au cours de laquelle celui-ci racontait que sa « première expérience » avait eu lieu au cours de rapports incestueux avec sa mère, alors qu'il était ivre. Cette parodie laissait entendre que Falwell ne prêchait qu'en état d'ébriété.

    La Cour suprême décréta que Jerry Falwell ne pouvait invoquer le premier amendement pour prétendre qu'un directeur de publication devait être tenu pour coupable d'une satire « outrageante » visant une personne en vue. Elle déclarait que, tout au long de l'histoire des États-Unis « les descriptions crues et les dessins satiriques avaient joué un rôle de premier plan dans les débats publics et politiques ».

    Tout en reconnaissant que la parodie publiée dans Hustler n'avait que peu de rapport avec les dessins satiriques traditionnels, la Cour estimait que le critère d'outrage invoqué par Falwell ne permettait pas de faire une distinction juridique entre la parodie incriminée et les dessins satiriques. La Cour suprême soulignait la nécessité qui s'imposait de donner à la presse suffisamment de latitude pour lui permettre d'exercer la liberté que lui garantissait le premier amendement. Elle ajoutait : « Si c'est l'opinion de l'auteur qui offense le plaignant, cela justifie la protection accordée à la presse par la Constitution. Car l'un des principes fondamentaux posés par le premier amendement est que le gouvernement doit rester neutre sur le marché des idées. »

    La protection du premier amendement ne se limite pas aux articles de presse traitant d'importantes questions gouvernementales et de personnes en vue. La Cour suprême a en effet statué que si la presse « obtient légalement des informations véridiques sur une question d'intérêt public, le gouvernement ne peut pénaliser la presse pour la publication de ces informations en invoquant la Constitution, sauf si les intérêts supérieurs du pays sont en jeu ».


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  • Pour moi l'amour est un ensemble de sensations, de sentiments profonds qui ne nous quittent plus le temps que dure notre relation. Ce sentiment de malêtre, d'attente interminable, d'un manque quand l'autre n'est pas là ; cette impression de bonheur subit, comme une vague de bonne humeur et de bien être lorsque l'autre est à nos côtés. Etre dépendant de la personne que l'on aime, ne vivre que pour elle et ne plus rien avoir à en faire du reste. L'amour est double,elle est à la fois une souffrance et un plaisir, comme une drogue.
    La souffrance, elle est là quand on doit se séparer, quelques heures qui nous paraissent une éternité, le ventre qui se sert, cette impression de vide, la perte de toutes volontés sur lesquels viennent s'ajouter :
    - les mauvaises notes (bin oui au moins au début on est incapable de travailler, on ne peut plus rien faire sans l'autre !)
    - les amiesqui nous snobent (" bin oui t'es tellement occupé maintenant, on veut pas te déranger !... ")
    - notre forfait épuisé dès le deuxième jour
     Mais le bonheur de l'amour dépasse bien tous ces petits "dérangements", c'est un rayon de soleil, une source de gaieté, un enivrement. Tout va bien, on se sent protéger, en sécurité, apaiser, comme sur un nuage.Le plus important avant toute chose,c de parler ! c'est le meillleur moyen de faire tomber tous les tabous, tous les complexes et de se sentir mieux dans votre relation. Ne pas oublier la tendresse, l'écoute et la parole.

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